- Prévalence et facteurs de risque
- Les données sont difficiles à établir cette affection présentant de nombreuses rémissions spontanées tant chez le chien que chez le chat.
- Les infections sous-cutanées ne sont décrites que chez le persan et le Yorkshire
- Les activités de chasse ou de travail augmentent le risque
- L’infection FeLV ou FIV ne prédispose pas au développement de la teigne
- Diagnostic
- Il n’existe pas de gold standard
- Le diagnostic repose sur plusieurs outils : lampe de Wood, examen direct des poils, culture fongique et biopsies cutanées
- La dermatoscopie peut être intéressante associée ou non à l’examen en lampe de Wood. On observe des poils en virgule (photo)
- La PCR peut être une aide, mais un résultat positif n’est pas synonyme d’infection active et des organismes morts peuvent être à l’origine de tests positifs
- Contrairement à une idée reçue, la grande majorité des souches de Microsporum canis sont fluorescentes à l’examen en lampe de Wood. Par contre, cette fluorescence peut être difficilement observable chez un animal traité.
- Le suivi thérapeutique repose sur la réponse clinique, la lampe de Wood si possible et la culture fongique.
- Une PCR négative chez un chat traité est synonyme de guérison, tout comme une culture négative chez un chat alésionnel.