- Ne pas nommer la maladie
- Expliquer qu’il s’agit uniquement d’une maladie allergique
- Vouloir tout expliquer en une seule consultation
- Non diagnostic des complications infectieuses
- Ne pas s’assurer de la faisabilité des soins locaux
- Poursuivre des soins inefficaces ou aggravants
- Ne pas proposer de traitement de fond
- Dénigrer les traitements que l’on ne maitrise pas (désensibilisation, ciclosporine, oclacitinib…)
- Pas de mise en place d’un calendrier de suivi
- Oublier de référer les cas difficiles ou lorsque le propriétaire le demande