Une équipe du département de Psychologie et philosophie de la Texas Woman’s University de Denton s’est penchée sur ce qu’ils ont appelé le « biais du chat noir », à savoir les a priori que les adoptants de chats peuvent avoir lorsque son pelage est noir.
Ils ont montré qu’il existe bien un a priori défavorable, mais que cela n’est pas lié à la couleur de la peau de l’humain ou à sa religion, mais tout simplement à des superstitions.
D’autre part, cet a priori défavorable qui les fait juger moins sympas ou plus agressifs n’a que peu ou pas d’influence sur le désir d’adoption, sauf si les adoptants trouvent qu’ils ont plus de mal à lire les expressions faciales des chats noirs.
Voici une explication de la plus faible représentation des chats noir dans le nouveau royaume des chats qu’est internet. Les superstitions les plus idiotes ont la peau dur (et le poil noir).
Côté vétérinaire, une chose est sure : ils sont aussi sympas que les autres et pas plus malades, alors adoptez les ! Côté image, les auteurs n’ont pas étudié la difficulté technique de la prise de vue d’un animal à pelage noir qui oscille toujours entre sur et sous exposition. C’est peut être tout aussi surement que les vieille histoires de sorcière une source de moindre fréquence des black cats sur Instagram